48 heures après l'arrestation des activistes de différents mouvements citoyens à l'esplanade du palais du peuple, les voix se lèvent pour dénoncer une entrave à la liberté de manifestation publique contre les textes légaux.
Pour Jean-Claude Katende président de l'ASADHO, c'est un point noir qui marque le début du dernier quinquennat de Félix Tshisekedi à la tête du pays. Il estime que l'arrestation de ces militants et leur incarcération dans les locaux de l'ANR puisse mettre en danger les activités des activistes des droits de l'homme en République Démocratique du Congo.
Alors qu'ils dénonçaient l'inertie du gouvernement congolais sur l'occupation du territoire stratégique de Bunagana 600 jours après, ces activistes des mouvements citoyens ont été pris au piège par les éléments de l'Agence Nationale des Renseignements pour être conduit dans un lieu tenu secret qui, aux dernières nouvelles ils seraient dans les locaux de l'ANR.
Depuis lors, c'est une asphyxie de la classe politique mais plusieurs voix des membres des structures des droits de l'homme se relient pour exiger leur libération sans condition.
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