Il n'y a pas toujours un bon climat entre les éléments de la police nationale congolaise et les motards du Territoire de Ngandajika, dans la province de Lomami.
Selon certains motards qui se sont livrés à la radio Ditunga ,ils disent être indignés des poursuites judiciaires dont font l'objet certains de leur collègue de la part des éléments PNC après les affrontements survenu entre eux et les éléments de la police lors de funérailles du d'un motocycliste dans la cité verte. Cependant, ils lancent un appel aux autorités provinciales pour prouver et faciliter un climat d'entente.
"Est-ce que le commissaire de district de la police de Ngandajika ne peut pas nous pardonner ? Il nous a dit dernièrement que le problème est terminer parce qu'il avait déjà maîtrisé les auteurs. Nous savons très bien qu'il y a eu les affrontements, c'est n'était pas seulement les chauffeurs qui lancés des prières, la population également s'y était mêlée. Pourquoi il doit refuser de nous pardonner ? Depuis son arrivée ici à Ngandajika nous les chauffeurs nous sommes beaucoup inquiétés, nous sommes toujours tracassé. Au moment que nous vous livrons cette information, il y a les policiers à nos domiciles entrain de nous recherché pour nous arrêter et nous amené vite en prison et nous sommes en fuite en ce moment comment allons-nous nourrir nos femmes et nos enfants ?" s'interroge un des motards.
Avant de poursuivre" ce pourquoi je demande à l'autorité provinciale pouvoir s'impliquer dans ce dossier pour que les chauffeurs puissent recouvraient la paix et la liberté. Nous avons demandé pardon à ce colonel mais il ne veut pas toujours nous entendre, certains d'entre nous sont même en prison et on exige pour leur libération 700.000fc, où peut-il se trouver ce 700.000fc?" continue t-il de s'interroger.
Rappelons qu'en date du 19 mai en cours, il y a eu des échauffourées entre les motards et la police qui tenez faire respecter les mesures préventives de la lutte contre la Covid-19, et le bilan été de 4 personnes blessées dont le numéro 1 de la PNC et plusieurs interprétations.
Jean Paul Tshimanga
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