Fixer le prix du transport aux passagers, est devenu monnaie courante dans la ville de Kinshasa. Une situation qui détériore de plus le social de ce pauvre peuple. Face à leur propre sort, les usagers des taxi-bus, taxi et moto-taxi sont contraints se soumettre à ces obligations des chauffeurs, de peur de passer nuit à l'arrêt de bus.
« C'est devenu presque impossible de voir un ticket de transport coûté 500 fc. Surtout nous de l'UPN, on est pas en-dessous de 2500 fc. De fois, c'est 3000 fc, voir même 4000 fc, surtout lorsqu'il a plu, le soir ou y a du monde à l'arrêt de bus. Cette situation nous réduit même notre mobilité », déplore un usager de bus.
Et d'ajouter : « finalement, quel est le rôle du gouverneur de la ville ? Quel est le rôle du ministère de transport ? Carrément, rien n'est régulé comme si la ville n'avait pas des autorités, c'est pitoyable. Epuis, se sont les mêmes personnes qui postulent encore, c'est décevant ! », est il meurtri.
Notons que, ce souci est observé dans toutes la ville de Kinshasa, ou les propriétaires des bus sont rois et dictent le prix du transport à leur bon vouloir.
Face à cette situation, les autorités compétentes sont appelés à réguler la problématique.
MI
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