Amka Congo, un collectif des mouvements citoyen hausse le ton pour demander à la justice de se saisir aussi de tout dossier de détournement dans ces travaux d’intérêts communs, raison pour laquelle, il vient d’initier une pétition pour exiger l'évaluation de ce programme de cent jours du président Félix Tshisekedi.
« Ce programme intéresse plus d'un congolais et notre souci pour que cette affaire n'impacte pas négativement sur ce vaste et grand programme populaire. L'implication des certaines entreprises locales, dont l'Office de route et l'Office des Voiries et Drainage dans l'exécution de ces travaux et déterminante. Et celle-ci s'ajoute certaines entreprises privées et certaines personnalités politiques qui auraient étés déléguées pour le suivi de travaux et la réception des fonds reçu en mode d'urgence », réagit le collectif AMKA congo qui invite la population de bien vouloir signer la pétition pour obtenir l'évaluation de ces travaux. Au Sud-Kivu, l'une des provinces à problème de l'Est de la République Démocratique du Congo souffre d'un manque d'infrastructures sociales, certains secteurs concernés par ce programme d'urgence de cent jours, sont entre autres les routes, les écoles, l'habitat (avec des maisons prêt fabriquées), l'agriculture, l'eau et l'électricité. A Part, les travaux des routes qui sont ralentis aucun autre chantier n’est opérationnel.
Héritier Bashige depuis Bukavu.
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